Pédaler sollicite les muscles des jambes (sutout dans lesmontées !) et engendre une augmentation du rythme cardiaque. Cet effort, qu’il soit modéré ou plus intense, déclenche un cercle vertueux qui se répercute sur la fonction cardiovasculaire et les capacités pulmonaires.
L’effort demandé bénéficie au souffle, ce qui a pour effet de développer l’endurance cardio-respiratoire. Au quotidien, on se sent moins essoufflé et plus à l’aise dans l’exercice physique quel qu’il soit (monter des escaliers, marche rapide…).
Le vélo est un allié des nuits douces, en aidant à s’endormir et à avoir un sommeil réparateur. Pour en profiter de manière optimale, il est recommandé de le pratiquer de façon modérée en journée ou en fin de journée.
L'effort cardiaque déclenche la contraction musculaire qui opère aussi au niveau des muscles intestinaux. Il facilite ainsi le transit et combat la constipation.
Pédaler ne muscle pas seulement la silhouette, elle fait office aussi de gymnastique cérébrale. Explications : l’entraînement à vélo améliore la fonction respiratoire et par ricochets, accroît l’oxygénation du muscle cardiaque, et de l’ensemble des organes. Or un cerveau mieux oxygéné est un cerveau qui fonctionne mieux !
Après un effort d'endurance, un état de bien-être et de légèreté se ressent. Ces effets grisants et euphorisants sont imputables aux endocannabinoïdes, ces molécules produites par l’organisme lors d’un effort physique. Celles-ci circulent dans le sang et passent la barrière hématoencéphalique (située entre la circulation sanguine et le système nerveux central) pour se fixer sur des récepteurs cellulaires spécialisés, à l’origine de cette sensation d’euphorie.
En faisant intervenir différents groupes musculaires, à commencer par les mollets, les cuisses mais aussi la sangle abdominale (une posture gainée améliore l’efficacité de la pratique), le vélo fait partie des activités conseillées pour sculpter le bas du corps, tonifier les cuisses et les mollets et affiner les jambes.
Le poids du corps repose sur la selle et l'effort circulaire sur les pédales est continu. Les genoux ne supportent donc ni le poids du corps ni les impacts comme c'est le cas par exemple pour la course à pied, où les articulations encaissent et absorbent les chocs et peuvent à force subir des traumatismes. Une bonne raison de préférer la petite reine !